Catégorie Actualites : Bienêtre

L’organisme a besoin de plusieurs éléments pour rester en bonne santé et pour pouvoir assurer son rôle.
Cependant, bien que la plupart de ces éléments sont soit fabriqués par le corps, soit consommés par l’intermédiaire de nourritures, il n’est pas toujours facile d’avoir le bon rapport nutritionnel dont le corps a besoin.
Une carence en vitamines ou en calcium par exemple, pourra causer des conséquences graves. Et c’est la même chose pour les autres nutriments.
C’est pour prévenir ce genre de problème qu’on fait appel aux compléments alimentaires. On les consomme également dans le but d’améliorer les performances physiques ou de gagner en muscle. Les compléments alimentaires ont été conçus pour répondre au besoin de l’organisme et au bien-être de tout le monde.
En général, ils sont aptes à combler le manque au sein de l’organisme grâce aux valeurs nutritives qu’ils apportent. Cependant, ce ne sont pas tous les compléments qui ont cette capacité.

Quoi de plus important que de se sentir “bien dans sa peau”.
Cette expression en dit long sur le ressenti que peut avoir une femme lorsqu’elle se sent belle, en harmonie avec ses atouts dont l’a doté la nature !

Dans ce contexte, je vous invite à voyager ensemble dans le temps, pour vous raconter l’histoire de la plante de jouvence :

Pueraria Mirifica ou White Kwao krua

Genre:  Pueraria candollei

variété Pueraria candollei var. mirifica

Cette plante thaïlandaise est originaire de la capitale birmane en Asie, et c’est en Thaïlande qu’elle est cultivée à grande échelle. Elle remonte au 13ème siècle après J.C et a toujours été utilisée comme un médicament (Thai traditional herbal medicine). Les Birmans gardèrent secrets les usages qu’ils faisaient de cette plante, jusqu’à ce que cette dernière finisse par être connue et utilisée au-delà de leur frontière. Peu après ses vertus plutôt thérapeutiques, les usages à visées cosmétiques de la plante sont devenus fréquents, et ce, grâce aux travaux publiés par Luang Anusang. Ce dernier prétend que la plante aiderait à améliorer la texture de la peau sur l’ensemble du corps, autant qu’elle améliorerait la mémoire et réduirait les signes de la vieillesse, tels que les rides et les cheveux blancs. Dr Kerr en 1932  et Sukhavachana en 1941  ont revendiqué plusieurs fois l’activité œstrogénique de PM. L’Identification de l’espèce végétale de PM était certaine en 1952.Cette même année le journal « Siam Society » publie les recherches du docteur Kerr, faisant de PM une plante idéale pour augmenter naturellement la taille et la forme des seins.

Du point de vue ethnobotanique, les composés bioactifs de Pueraria Mirifica (P.M) se trouvent dans la racine tubéreuse, et ce sont ces racines en particulier qui ont été utilisés par les communautés locales en Thaïlande depuis plus de cent ans. D’autres travaux font de cette plante magique une « fontaine de la jeunesse « pour les hommes et les femmes âgés, en listant les bienfaits de son utilisation comme anti-rides pour la peau, pour assombrir les cheveux blancs et augmenter la croissance des cheveux, soulager les cataractes dans les yeux, aider à la perte de mémoire, augmenter l’énergie, la vigueur, améliorer l’appétit et soulager les troubles du sommeil.

La ptose mammaire qui se définit par l’affaissement de la glande mammaire accompagné d’une distension de la peau peut être d’origine primitive (congénitale) ou secondaire, consécutive à la grossesse, suite à une prise de poids, du fait d’un relâchement cutané, ou dû au vieillissement. La Pueraria Mirifica offre la solution totalement naturelle à ces désagréments, elle a un effet majeur sur l’élargissement de la poitrine féminine.

Les experts ont confirmé que les compositions naturelles de la plante comme le miroestrol et deoxymiroestrol, peuvent se lier aux récepteurs des œstrogènes des tissus mammaires. Ces phyto-œstrogènes ont des similitudes structurelles avec l’œstrogène féminin, ce qui leur permettent de ne pas être rejetés par le corps. L’apport de la Pueraria Mirifica et de ses composants peuvent compléter et booster l’activité hormonale et donner une seconde jeunesse à la poitrine. Le résultat serait marqué par une augmentation du volume de la poitrine, d’un élargissement des tissus mammaires, et d’une peau et poitrine plus lisses et fermes.

Bienfaits sur la peau et le vieillissement

La P.M hydrate la peau, stimule la production de collagène (la peau parait plus saine, plus ferme et le teint plus jeune). Comme antirides, P.M combat aussi les symptômes du vieillissement. Reconnue comme une source de flavonoïdes et de composés de miroestrol, la plante soutient le corps dans la lutte contre ces effets liés au vieillissement.

P.M ne doit pas être utilisé par les enfants, les femmes âgées de moins de 18/20 ans, toute personne qui suit une thérapie de remplacement d’hormones, les femmes avec des problèmes de kystes au sein, des ovaires ou de l’utérus et les femmes enceintes ou qui allaitent.

En conclusion, la plante Pueraria Mirifica, a été identifiée comme une plante naturelle et médicinale aux multiples avantages. De nos jours, devant le doute qui s’installe quant à la taille ou la beauté de leur poitrine à des moments passagers ou lors du cap de la ménopause, les femmes seront en sécurité pour utiliser cette plante qui a longuement voyagé. Car la Pueraria Mirifica a de nombreuses qualités qui ont été prouvées, comme ses bienfaits sur la taille des seins, l’augmentation de la libido, le lissage de la peau, l’atténuement des effets visibles du vieillissement et le recul de la ménopause.

Pueraria Mirifica est la plante qui allie bien-être et santé au naturel !

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Est-ce-que la Femme enceinte COVID-19 positive peut transmettre le Virus SARS-CoV-2 à son bébé ? Est-ce que le Virus SARS-CoV-2 se transmet au cours de l’allaitement ?

• Les premières données chinoises publiées semblent montrer que les symptômes chez la femme enceinte sont les mêmes que ceux de la population générale pour la grande majorité d’entre elles qui ne ressentiraient que de légers symptômes de rhinite ou de syndrome grippal avec potentiellement de la toux, une fièvre ou une dyspnée, mais il y a le risque qu’il ait plus de formes graves.
• L’analyse de plusieurs résultats d’études cliniques suggère, qu’à l’heure actuelle, il n’y a aucune preuve de transmission materno-foetale intra utérine. Une des hypothèses pouvant expliquer l’absence de transmission materno-foetale via le placenta serait le fait que le récepteur du SARS-CoV-2, l’enzyme de conversion de l’angiotensine (ACE2) nécessaire à son intégration cellulaire a une expression très faible au niveau de l’interface materno-fœtale.
• Cependant des cas de nouveau-nés infectés précocement font penser qu’il pourrait y avoir une transmission verticale per-partum ou néonatale.
• Une prématurité induite et des cas de détresses respiratoires chez les nouveau-nés de mères infectées ont été décrits.
• De plus l’analyse du lait maternel ne montre pas d’excrétion virale et donc à priori pas de transmission via l’allaitement.
• En effet la SNF (Société Française de Néonatologie) et la GPIP (Groupe de Pathologie Infectieuse Pédiatrique) ne recommandent pas actuellement de séparer la mère COVID-19 positive et son enfant et ne contre-indiquent pas l’allaitement. Pendant l’allaitement le port du masque est obligatoire pour la mère (masque chirurgical) avec des mesures d’hygiène des mains strictes, par contre pas de port de masque chez l’enfant.
• Il parait donc important que les femmes enceintes respectent les mesures barrières et il est primordial de se faire dépister si apparition des symptômes.

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Références :

• PEYRONNET, Violaine, SIBIUDE, Jeanne, DERUELLE, Philippe, et al. Infection par le SARS-CoV-2 chez les femmes enceintes. État des connaissances et proposition de prise en charge. CNGOF. Gynécologie Obstétrique Fertilité & Sénologie, 2020.